En l'absence des locataires
09h09 déjà et je me demande ce que je vais faire de ma dernière journée de liberté conditionnelle (la condition c'est que tout doit être en fonction d'ici samedi 29 octobre, 20h00)
C'est pas si souvent les vacances. Celles des enfants absents.
Après une semaine passée entre diverses hésitations,
a) ne rien faire
b) tout faire (option libidineuse classée en priorité parce que tu n'es pas encore à l'âge où il faut tout prévoir, en mode Vieugra en quelque sorte)
ce matin, j'hésite à nouveau entre remettre un peu d'ordre dans ce qui ressemblait encore il y a huit jours à un logis ou profiter du canapé en mode a) ou b)
Comme je n'ai que le cerveau droit qui fonctionne (à peu de près, dixit Anni) la question devrait être vite réglée.
Pour la conscience professionnelle, ça attendra 20h01.
Parce que (redixit Anni) avoir "charge d'âmes, être responsable de la rose" ne permet pas de se laisser aller complètement.
Avoir un semblant de morale et d'ordre chez soi, ça structure quand même. Mais que d'efforts parfois. Et pour reredixiter Anni (merci de ta collaboration pour ce billet), le plus difficile est de trouver l'harmonie sur un cheval qui ne sera jamais complètement dompté.